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​🔴 Trois mois de prison pour des affiches : l'ASLA aux côtés de Patria Albiges pour obtenir la relaxe

Le 23 janvier, la Cour d'appel de Toulouse a rendu un verdict lourd de conséquences pour trois militants de Patria Albiges, poursuivis pour avoir collé des affiches dénonçant les attaques au couteau d’Annecy, perpétrées par un migrant syrien.
Ces affiches portaient un message simple et percutant : « ProtĂ©geons nos familles de l'immigration Â».
Pour rappel, l’assaillant syrien avait délibérément poignardé des bébés dans un parc pour enfants, faisant six blessés avant d’être maîtrisé.

Le verdict : une condamnation politique déguisée
La Cour a maintenu la condamnation pour « provocation à la haine raciale » avec des sanctions choquantes à l’encontre de citoyens français au casier vierge :
- 3 mois de prison avec sursis,
- Stage de rééducation républicaine à leurs frais,
- 2 500 € de dommages et intérêts à des associations militantes d’extrême-gauche, qui se sont constituées partie civile.


➡️ Un acharnement idéologique et judiciaire
Depuis le début, l’ASLA dénonce l’instrumentalisation des tribunaux pour museler les lanceurs d’alerte et dissuader toute opposition à une politique migratoire incontrôlée et ses conséquences dramatiques.
Ces trois jeunes hommes sont devenus les boucs émissaires d’une justice de plus en plus politisée, utilisée comme outil de répression.

⚖️ Pourquoi un recours en cassation ?
Cette condamnation disproportionnée et idéologiquement biaisée établit un dangereux précédent pour la liberté d’expression.
Ces jeunes patriotes, qui n’ont commis ni violence ni dégradations, se retrouvent criminalisés pour avoir dénoncé des faits graves et alerté sur un enjeu de société majeur.

L’ASLA s’engage à porter ce dossier devant la Cour de cassation. Nous irons jusqu’au bout pour obtenir la relaxe et rétablir la justice.
Face à l’intimidation, nous refusons de reculer. Ce combat ne concerne pas seulement ces militants, mais l’ensemble des citoyens qui croient encore à la liberté d’expression et au droit de dire la vérité.

👉 Merci pour votre soutien !
C’est grâce à votre mobilisation que nous avons pu accompagner ces jeunes en première instance et en appel. Aujourd’hui, ce combat continue, et nous avons besoin de vous pour nous tenir à leurs côtés.

➡️ Ensemble, défendons la liberté d’expression et soutenons ceux qui osent dire la vérité.

Faites un don pour soutenir ces jeunes militants âś…



group-telegram.com/assoSLA/377
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​🔴 Trois mois de prison pour des affiches : l'ASLA aux côtés de Patria Albiges pour obtenir la relaxe

Le 23 janvier, la Cour d'appel de Toulouse a rendu un verdict lourd de conséquences pour trois militants de Patria Albiges, poursuivis pour avoir collé des affiches dénonçant les attaques au couteau d’Annecy, perpétrées par un migrant syrien.
Ces affiches portaient un message simple et percutant : « ProtĂ©geons nos familles de l'immigration Â».
Pour rappel, l’assaillant syrien avait délibérément poignardé des bébés dans un parc pour enfants, faisant six blessés avant d’être maîtrisé.

Le verdict : une condamnation politique déguisée
La Cour a maintenu la condamnation pour « provocation à la haine raciale » avec des sanctions choquantes à l’encontre de citoyens français au casier vierge :
- 3 mois de prison avec sursis,
- Stage de rééducation républicaine à leurs frais,
- 2 500 € de dommages et intérêts à des associations militantes d’extrême-gauche, qui se sont constituées partie civile.


➡️ Un acharnement idéologique et judiciaire
Depuis le début, l’ASLA dénonce l’instrumentalisation des tribunaux pour museler les lanceurs d’alerte et dissuader toute opposition à une politique migratoire incontrôlée et ses conséquences dramatiques.
Ces trois jeunes hommes sont devenus les boucs émissaires d’une justice de plus en plus politisée, utilisée comme outil de répression.

⚖️ Pourquoi un recours en cassation ?
Cette condamnation disproportionnée et idéologiquement biaisée établit un dangereux précédent pour la liberté d’expression.
Ces jeunes patriotes, qui n’ont commis ni violence ni dégradations, se retrouvent criminalisés pour avoir dénoncé des faits graves et alerté sur un enjeu de société majeur.

L’ASLA s’engage à porter ce dossier devant la Cour de cassation. Nous irons jusqu’au bout pour obtenir la relaxe et rétablir la justice.
Face à l’intimidation, nous refusons de reculer. Ce combat ne concerne pas seulement ces militants, mais l’ensemble des citoyens qui croient encore à la liberté d’expression et au droit de dire la vérité.

👉 Merci pour votre soutien !
C’est grâce à votre mobilisation que nous avons pu accompagner ces jeunes en première instance et en appel. Aujourd’hui, ce combat continue, et nous avons besoin de vous pour nous tenir à leurs côtés.

➡️ Ensemble, défendons la liberté d’expression et soutenons ceux qui osent dire la vérité.

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BY ASLA




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So, uh, whenever I hear about Telegram, it’s always in relation to something bad. What gives? Individual messages can be fully encrypted. But the user has to turn on that function. It's not automatic, as it is on Signal and WhatsApp. But Telegram says people want to keep their chat history when they get a new phone, and they like having a data backup that will sync their chats across multiple devices. And that is why they let people choose whether they want their messages to be encrypted or not. When not turned on, though, chats are stored on Telegram's services, which are scattered throughout the world. But it has "disclosed 0 bytes of user data to third parties, including governments," Telegram states on its website. Recently, Durav wrote on his Telegram channel that users' right to privacy, in light of the war in Ukraine, is "sacred, now more than ever." Given the pro-privacy stance of the platform, it’s taken as a given that it’ll be used for a number of reasons, not all of them good. And Telegram has been attached to a fair few scandals related to terrorism, sexual exploitation and crime. Back in 2015, Vox described Telegram as “ISIS’ app of choice,” saying that the platform’s real use is the ability to use channels to distribute material to large groups at once. Telegram has acted to remove public channels affiliated with terrorism, but Pavel Durov reiterated that he had no business snooping on private conversations.
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