LUSASI MAKUBA ARMANDO Diego-Ardosest un artiste peintre né à Kinshasa le 11 novembre 1994. Diplômé d’Etat (Baccalauréat) en Arts plastiques en 2013 à l’ESFORA (Ecole privée des beaux-arts). En 2020, il décroche son diplôme de Licencié en Arts plastiques dans l’option Peinture à l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa. Cet artiste est très actif professionnellement, il est dessinateur et portraitiste. Il a participé à plusieurs expositions au pays dont le Festival International de la Rumba et de l’Elégance, 2ème édition en 2018, la même année, il participe à celle organisée par l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa. Il participe aussi à certains concours dans son domaine de prédilection qui reste la peinture, à savoir le concours de l’UNICEF sur le droit de l’enfant et celui de PNUD sur la lutte contre la pauvreté. En 2018, il participe à l’exposition des finalistes à l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa, 2 ème édition. En 2019, il participe au concours « Jeunes talents » de CFAO, à l’espace Bilembo de Kinshasa et à l’exposition des finalistes à l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa, 3ème édition. Et celle organisée par la chambre haute du parlement Congolais (SENAT). En 2020, il participe à l’exposition collective « Foire du cinquantenaire », au Musée National de la République Démocratique du Congo (MNRDC) à Kinshasa, et à l’exposition virtuelle « Confinement 2.0 », organisé par l’Association Jeunes Artistes d’Avenir (JAA) et il a gagné le premier prix de celle-ci. L’artiste a aussi participé à l’exposition collective HAKILI, organisé en France. Il vit et travaille à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo.
LUSASI MAKUBA ARMANDO Diego-Ardosest un artiste peintre né à Kinshasa le 11 novembre 1994. Diplômé d’Etat (Baccalauréat) en Arts plastiques en 2013 à l’ESFORA (Ecole privée des beaux-arts). En 2020, il décroche son diplôme de Licencié en Arts plastiques dans l’option Peinture à l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa. Cet artiste est très actif professionnellement, il est dessinateur et portraitiste. Il a participé à plusieurs expositions au pays dont le Festival International de la Rumba et de l’Elégance, 2ème édition en 2018, la même année, il participe à celle organisée par l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa. Il participe aussi à certains concours dans son domaine de prédilection qui reste la peinture, à savoir le concours de l’UNICEF sur le droit de l’enfant et celui de PNUD sur la lutte contre la pauvreté. En 2018, il participe à l’exposition des finalistes à l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa, 2 ème édition. En 2019, il participe au concours « Jeunes talents » de CFAO, à l’espace Bilembo de Kinshasa et à l’exposition des finalistes à l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa, 3ème édition. Et celle organisée par la chambre haute du parlement Congolais (SENAT). En 2020, il participe à l’exposition collective « Foire du cinquantenaire », au Musée National de la République Démocratique du Congo (MNRDC) à Kinshasa, et à l’exposition virtuelle « Confinement 2.0 », organisé par l’Association Jeunes Artistes d’Avenir (JAA) et il a gagné le premier prix de celle-ci. L’artiste a aussi participé à l’exposition collective HAKILI, organisé en France. Il vit et travaille à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo.
These administrators had built substantial positions in these scrips prior to the circulation of recommendations and offloaded their positions subsequent to rise in price of these scrips, making significant profits at the expense of unsuspecting investors, Sebi noted. At the start of 2018, the company attempted to launch an Initial Coin Offering (ICO) which would enable it to enable payments (and earn the cash that comes from doing so). The initial signals were promising, especially given Telegram’s user base is already fairly crypto-savvy. It raised an initial tranche of cash – worth more than a billion dollars – to help develop the coin before opening sales to the public. Unfortunately, third-party sales of coins bought in those initial fundraising rounds raised the ire of the SEC, which brought the hammer down on the whole operation. In 2020, officials ordered Telegram to pay a fine of $18.5 million and hand back much of the cash that it had raised. Oh no. There’s a certain degree of myth-making around what exactly went on, so take everything that follows lightly. Telegram was originally launched as a side project by the Durov brothers, with Nikolai handling the coding and Pavel as CEO, while both were at VK. Telegram has become more interventionist over time, and has steadily increased its efforts to shut down these accounts. But this has also meant that the company has also engaged with lawmakers more generally, although it maintains that it doesn’t do so willingly. For instance, in September 2021, Telegram reportedly blocked a chat bot in support of (Putin critic) Alexei Navalny during Russia’s most recent parliamentary elections. Pavel Durov was quoted at the time saying that the company was obliged to follow a “legitimate” law of the land. He added that as Apple and Google both follow the law, to violate it would give both platforms a reason to boot the messenger from its stores. Ukrainian forces have since put up a strong resistance to the Russian troops amid the war that has left hundreds of Ukrainian civilians, including children, dead, according to the United Nations. Ukrainian and international officials have accused Russia of targeting civilian populations with shelling and bombardments.
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