Forwarded from KimJongUnique
Marine Le Pen est quand même soutenue par le président des USA et le propriétaire du plus gros réseau social du monde, alors que son affaire relève de la pantalonnade de pieds-nickelés, mais elle est en mode "les racistes, sortez de mes mentions" à leur égard, comme ces femmes de gauche qui témoignent de leur agression sur internet.
En face, ils assument quand Obama apporte son soutien Ă Macron, alors que c'est une ordure finie.
Moralité : ça ne sert à rien de jouer au chevalier blanc ; c'est peine perdue. Les deux hommes de Washington auraient mieux fait de lancer un "Hey Marine, go to the kitchen", plutôt qu'un "Free Le Pen", comme l'a fait Musk
En face, ils assument quand Obama apporte son soutien Ă Macron, alors que c'est une ordure finie.
Moralité : ça ne sert à rien de jouer au chevalier blanc ; c'est peine perdue. Les deux hommes de Washington auraient mieux fait de lancer un "Hey Marine, go to the kitchen", plutôt qu'un "Free Le Pen", comme l'a fait Musk
PETER RENKENS, CHANTEUR DU GROUPE CONFETTI’S, EST MORT A L’AGE DE 55 ANS
PETER RENKENS, CHANTEUR DU GROUPE CONFETTI’S, EST MORT A L’AGE DE 55 ANS
Je l’apprends aujourd’hui, mais cet homme est mort le 14 février 2023. Peu depersonnes s’en souviennent, mais je souhaite lui rendre hommage,
car l’éphémère New Beat est à l’origine de ma passionpour les musiques électroniques.
Confetti’s est devenu un groupe commercial sans le vouloir, car ce genre musicalétait assez peu conventionnel à l’époque, mais son succès commercial involontaire a tué la new beat dans l’oeuf, comme c’estsouvent le cas des mouvements intimistes victimes de standardisation de masse. Peter Renkens était le leader de ce groupe. Il est mort à l’âge de 55 ans après avoir connu un succès international aussi fulgurant qu’éphémère et passa le reste de sa vie dansl’anonymat le plus complet. Ceux qui se souviennent de lui ont conservé l’image d’un grand jeune homme déluré et joyeux. Ilétait en réalité atteint de graves troubles psychologiques.
Ce groupe de New Beat s’est fait connaître à la fin des années 1980 avec desmorceaux tels que « The Sound of C » ou « C in China ». Mais qui
se souvient de la New Beat ? C’est un genre de musiqueélectronique, proche de l’acid-house dérivé de la new wave et de la musique industrielle, ayant émergé au Boccacio Life (bien quenée à Anvers), un club de la banlieue de Gand vers 1986. J’avais une dizaine d’années à l’époque et on se refilait descassettes « sous le manteau » de cette musique très étrange et envoûtante, parfois rapide, parfois lente, maistellement différentes des groupes qui passaient à la radio, comme Gold, Herbert Léonard ou U2 (bordel, je suis vieux haha). Maisrevenons à l’histoire de notre Peter.
De serveur à star internationale d’un nouveau genre musical
À la fin des années80, la planète entière écoute des standards de Mickael Jackson, Madonna, Depeche mode, Prince ou Police. Toute ? Non. En 1988sort « The World Beat » de The Caravan, premier single belge à contenir le mot « beat » dans le titre. Le mouvement New beatest née progressivement, sans vraiment le savoir, d’abord dans une scène exclusive à Anvers. Le premier club dédié à cettemusique, celui où on retrouvait l’atmosphère New Beat, était l’Ancienne Belgique, un club privé, fréquenté par lesgens les plus aisés d’Anvers. Un an plus tard, un autre club, le Prestige, jouait lui aussi ce son AB (qui était le premier nom de cequi deviendrait rapidement la New Beat). Le lieu était plus accessible et beaucoup de jeunes y venaient. Comme le DJ du Prestige(devenu Confetti’s) ne souhaitait pas que ce qu’il jouait soit défini comme de l’AB musique en raison de la compétitionentre les deux clubs, il a choisi le terme New Beat. Il a même créé un hymne pour son club : The Sound Of C. Puis, en avril 1987,le Boccaccio Life a ouvert ses portes à Gand, avec l’ex-DJ de l’Ancienne Belgique, et deviendra le « temple de la newbeat ».
Le groupe Confetti’sfut donc créé en 1988 pour la promotion du club du même nom. L’idée émanait des patrons qui proposèrent à l’un desserveurs, Peter Renkens, d’en être le visage. Les danseuses Marleen, Tania, Hilde et Daniella étaient alors des clientes duclub. À l’origine, ce groupe n’avait pas d’autres ambitions que de faire la promotion du club, mais le succès viendra trèsrapidement, dépassant largement le cadre local. Ils enregistrent un premier titre en studio : « The Sound of C ». Le single devient vite disque d’or en Belgique, se vendant à 165.000
exemplaires et connaît ensuite un succès international. 500 000 exemplaires sont vendus en France où il est disque d’argent.
Finalement, un million d’exemplaires de « The Sound of C » sesont vendus à travers le monde. Le clip fut tourné dans une rue d’Anvers. On y voit Peter, habillé en gendarme et les quatredanseuses y faire la chorégraphie empreinte de breakdance en plein milieu d’un carrefour qui finit par être envahi par les passants,dansant avec le groupe. Ce titre a mené le groupe un peu partout dans le monde, devenu en quelque sorte ambassadeur de la New beat.S’en sont suivis, les singles commerciaux "C in China"
"Keep Smiling", "C Countdown", "C
Je l’apprends aujourd’hui, mais cet homme est mort le 14 février 2023. Peu depersonnes s’en souviennent, mais je souhaite lui rendre hommage,
car l’éphémère New Beat est à l’origine de ma passionpour les musiques électroniques.
Confetti’s est devenu un groupe commercial sans le vouloir, car ce genre musicalétait assez peu conventionnel à l’époque, mais son succès commercial involontaire a tué la new beat dans l’oeuf, comme c’estsouvent le cas des mouvements intimistes victimes de standardisation de masse. Peter Renkens était le leader de ce groupe. Il est mort à l’âge de 55 ans après avoir connu un succès international aussi fulgurant qu’éphémère et passa le reste de sa vie dansl’anonymat le plus complet. Ceux qui se souviennent de lui ont conservé l’image d’un grand jeune homme déluré et joyeux. Ilétait en réalité atteint de graves troubles psychologiques.
Ce groupe de New Beat s’est fait connaître à la fin des années 1980 avec desmorceaux tels que « The Sound of C » ou « C in China ». Mais qui
se souvient de la New Beat ? C’est un genre de musiqueélectronique, proche de l’acid-house dérivé de la new wave et de la musique industrielle, ayant émergé au Boccacio Life (bien quenée à Anvers), un club de la banlieue de Gand vers 1986. J’avais une dizaine d’années à l’époque et on se refilait descassettes « sous le manteau » de cette musique très étrange et envoûtante, parfois rapide, parfois lente, maistellement différentes des groupes qui passaient à la radio, comme Gold, Herbert Léonard ou U2 (bordel, je suis vieux haha). Maisrevenons à l’histoire de notre Peter.
De serveur à star internationale d’un nouveau genre musical
À la fin des années80, la planète entière écoute des standards de Mickael Jackson, Madonna, Depeche mode, Prince ou Police. Toute ? Non. En 1988sort « The World Beat » de The Caravan, premier single belge à contenir le mot « beat » dans le titre. Le mouvement New beatest née progressivement, sans vraiment le savoir, d’abord dans une scène exclusive à Anvers. Le premier club dédié à cettemusique, celui où on retrouvait l’atmosphère New Beat, était l’Ancienne Belgique, un club privé, fréquenté par lesgens les plus aisés d’Anvers. Un an plus tard, un autre club, le Prestige, jouait lui aussi ce son AB (qui était le premier nom de cequi deviendrait rapidement la New Beat). Le lieu était plus accessible et beaucoup de jeunes y venaient. Comme le DJ du Prestige(devenu Confetti’s) ne souhaitait pas que ce qu’il jouait soit défini comme de l’AB musique en raison de la compétitionentre les deux clubs, il a choisi le terme New Beat. Il a même créé un hymne pour son club : The Sound Of C. Puis, en avril 1987,le Boccaccio Life a ouvert ses portes à Gand, avec l’ex-DJ de l’Ancienne Belgique, et deviendra le « temple de la newbeat ».
Le groupe Confetti’sfut donc créé en 1988 pour la promotion du club du même nom. L’idée émanait des patrons qui proposèrent à l’un desserveurs, Peter Renkens, d’en être le visage. Les danseuses Marleen, Tania, Hilde et Daniella étaient alors des clientes duclub. À l’origine, ce groupe n’avait pas d’autres ambitions que de faire la promotion du club, mais le succès viendra trèsrapidement, dépassant largement le cadre local. Ils enregistrent un premier titre en studio : « The Sound of C ». Le single devient vite disque d’or en Belgique, se vendant à 165.000
exemplaires et connaît ensuite un succès international. 500 000 exemplaires sont vendus en France où il est disque d’argent.
Finalement, un million d’exemplaires de « The Sound of C » sesont vendus à travers le monde. Le clip fut tourné dans une rue d’Anvers. On y voit Peter, habillé en gendarme et les quatredanseuses y faire la chorégraphie empreinte de breakdance en plein milieu d’un carrefour qui finit par être envahi par les passants,dansant avec le groupe. Ce titre a mené le groupe un peu partout dans le monde, devenu en quelque sorte ambassadeur de la New beat.S’en sont suivis, les singles commerciaux "C in China"
"Keep Smiling", "C Countdown", "C
En 1991, sort un dernier single (de la merde) , "Put 'M Up".
L’année suivante, Peter met fin au succès du groupe en seretirant : « Un jour, j'ai tout fait exploser. Boom! Terminé. Je n'en voulais plus. J'étais très malade à l'époque », a-t-ildéclaré plus tard à la presse.
Peter Renkens, atteint de troubles de santé mentale depuis l’enfance, étaitdiagnostiqué comme maniaco-dépressif. Il a été hospitalisé
pendant un certain temps et est ensuite tombé dans l'anonymat total.Ces dernières années, il vivait seul dans un appartement à Deurne,
explique le journal Het Laatste Nieuws. « J'ai vécu dans le néantpendant quinze ans. Un vide dans ma tête », a-t-il déclaré au journal en 2008. « Autrefois, j'avais une existence normale, hors dela psychiatrie. Je veux que ça revienne ».
Peter Renkens est mort à 55 ans. Il restera le visage d’un mouvement musicalcommercial, éphémère, né dans un contexte d’effondrement
géopolitique de grande ampleur.
L’année suivante, Peter met fin au succès du groupe en seretirant : « Un jour, j'ai tout fait exploser. Boom! Terminé. Je n'en voulais plus. J'étais très malade à l'époque », a-t-ildéclaré plus tard à la presse.
Peter Renkens, atteint de troubles de santé mentale depuis l’enfance, étaitdiagnostiqué comme maniaco-dépressif. Il a été hospitalisé
pendant un certain temps et est ensuite tombé dans l'anonymat total.Ces dernières années, il vivait seul dans un appartement à Deurne,
explique le journal Het Laatste Nieuws. « J'ai vécu dans le néantpendant quinze ans. Un vide dans ma tête », a-t-il déclaré au journal en 2008. « Autrefois, j'avais une existence normale, hors dela psychiatrie. Je veux que ça revienne ».
Peter Renkens est mort à 55 ans. Il restera le visage d’un mouvement musicalcommercial, éphémère, né dans un contexte d’effondrement
géopolitique de grande ampleur.
🇰🇲🇫🇷 12 raisons de décoloniser Mayotte !
1- Pression migratoire massive : En 2019, environ 48 % des 256 000 habitants de Mayotte (INSEE) étaient étrangers, majoritairement comoriens en situation irrégulière, avec 5 000 arrivées clandestines annuelles. Ce flux, difficile à contrôler, pourrait pousser la France à déléguer la gestion via l’indépendance.
2- Coût budgétaire exorbitant : En 2020, Mayotte a coûté plus de 1,2 milliard d’euros à la France, malgré un PIB local de 2,6 milliards (INSEE). Ce poids économique pourrait inciter à un désengagement de la France vers l'indépendance.
3- Influence croissante de l’islam rigoriste : Environ 95 % des Mahorais sont musulmans (INSEE), et des pratiques comme le droit coutumier islamique (appliqué dans 70 % des litiges fonciers) s’opposent au droit français.
4- Immigration liée à l’islam régional : La proximité avec les Comores (98 % musulman) alimente une immigration motivée par des liens religieux et familiaux (50 % des clandestins ont des proches à Mayotte, selon une étude de 2019). Cette dynamique, difficile à endiguer, pourrait pousser la France à céder le contrôle du caillou Mahorais aux Comores.
5- Chômage et dépendance économique : Avec un taux de chômage de 35 % (contre 8 % en métropole, INSEE 2020) et 70 % des emplois dans le public, l'ile est un gouffre financier qui vit sous la tutelle de la France.
6- Contestation géopolitique persistante : Depuis 1975, l’Union des Comores revendique Mayotte (Résolution ONU 31/4). L’indépendance de Mayotte pourrait apaiser ces tensions internationales.
7- Tutelle alimentaire : Mayotte importe 80 % de sa nourriture, avec seulement 13 % de terres cultivables exploitées (Ministère de l’Agriculture).
8- Dépendance sanitaire coûteuse : L’hôpital de Mamoudzou, en déficit de 20 millions d’euros (2018), affiche un taux d’occupation de 150 %.
9- Violences et insécurité croissantes : Avec un taux de délinquance de 88 pour 1 000 habitants (contre 56 en métropole), les crises comme celle de 2018 pourraient rendre la gestion de la sécurité trop complexe pour la France.
10- Violation du droit français : Environ 10 % des mariages sont polygames (INSEE 2017), en conflit avec le droit français, créant des tensions juridiques insolubles.
11- Faible rendement stratégique : La ZEE de 74 000 km² est sous-exploitée comparée à d’autres territoires. Un recentrage stratégique ailleurs pourrait marginaliser Mayotte.
12- Éducation en crise : Seulement 33 % des élèves obtiennent le brevet (contre 87 % en métropole, 2021), avec 30 % d’analphabétisme chez les adultes, rendant l’intégration vaine et coûteuse.
1- Pression migratoire massive : En 2019, environ 48 % des 256 000 habitants de Mayotte (INSEE) étaient étrangers, majoritairement comoriens en situation irrégulière, avec 5 000 arrivées clandestines annuelles. Ce flux, difficile à contrôler, pourrait pousser la France à déléguer la gestion via l’indépendance.
2- Coût budgétaire exorbitant : En 2020, Mayotte a coûté plus de 1,2 milliard d’euros à la France, malgré un PIB local de 2,6 milliards (INSEE). Ce poids économique pourrait inciter à un désengagement de la France vers l'indépendance.
3- Influence croissante de l’islam rigoriste : Environ 95 % des Mahorais sont musulmans (INSEE), et des pratiques comme le droit coutumier islamique (appliqué dans 70 % des litiges fonciers) s’opposent au droit français.
4- Immigration liée à l’islam régional : La proximité avec les Comores (98 % musulman) alimente une immigration motivée par des liens religieux et familiaux (50 % des clandestins ont des proches à Mayotte, selon une étude de 2019). Cette dynamique, difficile à endiguer, pourrait pousser la France à céder le contrôle du caillou Mahorais aux Comores.
5- Chômage et dépendance économique : Avec un taux de chômage de 35 % (contre 8 % en métropole, INSEE 2020) et 70 % des emplois dans le public, l'ile est un gouffre financier qui vit sous la tutelle de la France.
6- Contestation géopolitique persistante : Depuis 1975, l’Union des Comores revendique Mayotte (Résolution ONU 31/4). L’indépendance de Mayotte pourrait apaiser ces tensions internationales.
7- Tutelle alimentaire : Mayotte importe 80 % de sa nourriture, avec seulement 13 % de terres cultivables exploitées (Ministère de l’Agriculture).
8- Dépendance sanitaire coûteuse : L’hôpital de Mamoudzou, en déficit de 20 millions d’euros (2018), affiche un taux d’occupation de 150 %.
9- Violences et insécurité croissantes : Avec un taux de délinquance de 88 pour 1 000 habitants (contre 56 en métropole), les crises comme celle de 2018 pourraient rendre la gestion de la sécurité trop complexe pour la France.
10- Violation du droit français : Environ 10 % des mariages sont polygames (INSEE 2017), en conflit avec le droit français, créant des tensions juridiques insolubles.
11- Faible rendement stratégique : La ZEE de 74 000 km² est sous-exploitée comparée à d’autres territoires. Un recentrage stratégique ailleurs pourrait marginaliser Mayotte.
12- Éducation en crise : Seulement 33 % des élèves obtiennent le brevet (contre 87 % en métropole, 2021), avec 30 % d’analphabétisme chez les adultes, rendant l’intégration vaine et coûteuse.
Forwarded from Thorondor
Un ami, Vincent, va bientôt publier son roman sur la Rhodésie.
Le livre narrera le parcours d'un fermier blanc devenu combattant face au hordes de communistes noirs qui voulaient prendre le pouvoir.
Bien que mal connu par le public français le sujet n'en est pas moins plus qu'actuel.
Soutenez ce jeune auteur et éditeur en achetant dès maintenant son livre qui sortira le 28 avril.
Vous pouvez aussi aider en parlant du livre autour de vous dans vos cercles de camarades, avec des amis qui pourraient être intéressés par le sujet.
Merci d'avance Ă tous !
Le lien vers les préventes : https://vt-editions.fr/livres/guerre/le-chant-des-collines-les-combattants-oublies-de-la-rhodesie/
Le livre narrera le parcours d'un fermier blanc devenu combattant face au hordes de communistes noirs qui voulaient prendre le pouvoir.
Bien que mal connu par le public français le sujet n'en est pas moins plus qu'actuel.
Soutenez ce jeune auteur et éditeur en achetant dès maintenant son livre qui sortira le 28 avril.
Vous pouvez aussi aider en parlant du livre autour de vous dans vos cercles de camarades, avec des amis qui pourraient être intéressés par le sujet.
Merci d'avance Ă tous !
Le lien vers les préventes : https://vt-editions.fr/livres/guerre/le-chant-des-collines-les-combattants-oublies-de-la-rhodesie/