Streamed live on Apr 10, 2022 MUSÉE DU QUAI BRANLY - JACQUES CHIRAC Tête chercheuse Une anthroplogie de l'invisible par Gregory Delaplace Dimanche 10 avril 2022, 13h30
Les humains sont entourés de choses invisibles. Certaines (les fantômes, les esprits, les ovnis, la Vierge Marie) sont étudiées par les anthropologues du point de vue de la variabilité des croyances populaires, alors que d’autres (la culture, les virus, le marché, le dioxyde de carbone) sont envisagés comme des objets légitimes de savoir scientifique. Plutôt que de distinguer - arbitrairement en fait - entre de l’invisible qui existe et de l’invisible qui n’existe pas, il s’agira de proposer une anthropologie de l’invisible susceptible de mettre en relief les conditions d’existence d’un certain type de « chose », que les sociétés humaines à travers le monde choisissent de prendre en charge par différents moyens. Comment définir l’invisible, donc, d’une manière qui nous permette de mettre en évidence cette composante encore sous-estimée de notre monde, dont l’existence n’a jamais dépendu des croyances qu’elle pouvait susciter.
Streamed live on Apr 10, 2022 MUSÉE DU QUAI BRANLY - JACQUES CHIRAC Tête chercheuse Une anthroplogie de l'invisible par Gregory Delaplace Dimanche 10 avril 2022, 13h30
Les humains sont entourés de choses invisibles. Certaines (les fantômes, les esprits, les ovnis, la Vierge Marie) sont étudiées par les anthropologues du point de vue de la variabilité des croyances populaires, alors que d’autres (la culture, les virus, le marché, le dioxyde de carbone) sont envisagés comme des objets légitimes de savoir scientifique. Plutôt que de distinguer - arbitrairement en fait - entre de l’invisible qui existe et de l’invisible qui n’existe pas, il s’agira de proposer une anthropologie de l’invisible susceptible de mettre en relief les conditions d’existence d’un certain type de « chose », que les sociétés humaines à travers le monde choisissent de prendre en charge par différents moyens. Comment définir l’invisible, donc, d’une manière qui nous permette de mettre en évidence cette composante encore sous-estimée de notre monde, dont l’existence n’a jamais dépendu des croyances qu’elle pouvait susciter.
"The argument from Telegram is, 'You should trust us because we tell you that we're trustworthy,'" Maréchal said. "It's really in the eye of the beholder whether that's something you want to buy into." Given the pro-privacy stance of the platform, it’s taken as a given that it’ll be used for a number of reasons, not all of them good. And Telegram has been attached to a fair few scandals related to terrorism, sexual exploitation and crime. Back in 2015, Vox described Telegram as “ISIS’ app of choice,” saying that the platform’s real use is the ability to use channels to distribute material to large groups at once. Telegram has acted to remove public channels affiliated with terrorism, but Pavel Durov reiterated that he had no business snooping on private conversations. On February 27th, Durov posted that Channels were becoming a source of unverified information and that the company lacks the ability to check on their veracity. He urged users to be mistrustful of the things shared on Channels, and initially threatened to block the feature in the countries involved for the length of the war, saying that he didn’t want Telegram to be used to aggravate conflict or incite ethnic hatred. He did, however, walk back this plan when it became clear that they had also become a vital communications tool for Ukrainian officials and citizens to help coordinate their resistance and evacuations. "Markets were cheering this economic recovery and return to strong economic growth, but the cheers will turn to tears if the inflation outbreak pushes businesses and consumers to the brink of recession," he added. "There are several million Russians who can lift their head up from propaganda and try to look for other sources, and I'd say that most look for it on Telegram," he said.
from sg