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📆⚖️ Audience d’appel - la défense de notre patrimoine n'est pas un délit : l’ASLA aux côtés d'un élu municipal 🇫🇷

Aujourd'hui, Tristan de Closmadeuc, élu municipal et fervent défenseur du patrimoine français, comparaît devant la Cour d’appel de Lyon. L'ASLA le soutient depuis le début dans son combat judiciaire.

➡️ Rappel des faits :
En janvier 2023, la statue de Jeanne d’Arc et la croix de mission de Bourg-Argental, un village proche de Lyon, ont été retirées pour des travaux sans garantie de leur réinstallation.
Indigné et en tant qu'élu local, Tristan a lancé une pétition pour dénoncer ce qu’il considérait, à juste titre, comme une atteinte au patrimoine historique et chrétien et qui exprimait les préoccupations légitimes de nombreux habitants.

Le maire du village a alors porté plainte contre lui pour diffamation publique.
Il a été condamné en première instance à 3 000 € d’amende pour avoir simplement mis en lumière cette décision municipale scandaleuse.

⚖️ L’ASLA est à ses côtés.
Depuis le début nous soutenons Tristan de Closmadeuc dans son recours, car défendre notre patrimoine et exprimer des inquiétudes légitimes ne devrait jamais être sanctionné.
Aujourd'hui a lieu le jugement en appel, nous vous tiendrons informés des réquisitions.

📢 Merci pour votre mobilisation.
Grâce à vos dons, nous avons pu financer les coûts liés à la défense en première instance. Mais cette procédure continue d'engager des frais juridiques importants. Nous savons que Tristan peut compter sur vous !
Chaque contribution compte pour que les voix de ceux qui protègent nos racines historiques continuent de se faire entendre.

👉 Faites un don dès maintenant.
Ensemble, défendons notre patrimoine et nos libertés fondamentales !
⚖️ Tristan de Closmadeuc est aujourd’hui devant la Cour d’appel de Lyon pour défendre son engagement en faveur du patrimoine.

➡️ L’ASLA est à ses côtés pour contester sa condamnation injuste liée à la statue de Jeanne d’Arc à Bourg-Argental.

Nous vous tenons informés !
🎉 Face à la répression, la détermination triomphe : succès pour la marche de la fierté parisienne 2025

L’équipe de l’ASLA est fière que la marche de la fierté parisienne ait pu se tenir cette année sans interdiction, une première depuis deux ans.
Cet hommage aux flambeaux en l’honneur de Sainte Geneviève, protectrice de Paris, est organisé depuis 21 ans par des jeunes patriotes de l’association Paris Fierté.
Elle a réuni cette année plus d’un millier de Parisiens enracinés.

💪 L’ASLA avait accompagné en 2023 et 2024 les organisateurs dans leurs recours contre les interdictions abusives imposées par Gérald Darmanin.
À chaque fois, nous avons obtenu gain de cause, allant même jusqu’à faire condamner l’État à payer des dommages et intérêts.

Ce succès démontre que la détermination paie.
Lorsqu’ils sont menés avec rigueur et conviction, les recours juridiques peuvent créer des précédents solides, garantissant ainsi la défense de nos droits fondamentaux.

Face aux tentatives répétées d’interdiction de commémorations historiques et identitaires, nous avons prouvé qu’il est possible de renverser des décisions injustifiées.
Rien ni personne ne peut empêcher de tels rassemblements, porteurs de mémoire, de traditions et d’enracinement.

🔔 Nous appelons chacun à ne jamais céder face à l’arbitraire.
Chaque recours en justice, chaque mobilisation collective renforce nos libertés et prépare un avenir plus juste pour les générations futures.

L’ASLA reste pleinement mobilisée pour soutenir toutes les voix patriotes qui pourraient être muselées.

👉 Ensemble, continuons à défendre nos droits et nos traditions !
Media is too big
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🚨 Nouvelle victoire judiciaire pour Isabelle Surply et l’ASLA !

Le tribunal de Lyon prononce la nullité des poursuites contre l’élue de la Loire.
Son “tort” ? Avoir qualifié FilActions de « wokiste » et dénoncé ses dérives idéologiques.

➡️ Visée par une plainte pour diffamation, Isabelle Surply avait reçu le soutien de l’ASLA, de nos avocats et de nos donateurs pour financer sa défense face à cette procédure bâillon.

Cette victoire est un pas de plus pour la liberté d’expression !
🎉 Victoire judiciaire : Isabelle Surply et l’ASLA gagnent leur procès face à une association woke.

Ce 21 janvier 2025, le tribunal de Lyon a prononcé la nullité des poursuites contre Isabelle Surply, élue de la Loire, qui était accusée de diffamation pour avoir simplement qualifié l’association FilActions de « wokiste » et dénoncé ses dérives idéologiques financées par des fonds publics.

Cette victoire est une nouvelle étape dans la défense de la liberté d’expression et la lutte contre les tentatives d’intimidation judiciaire visant à faire taire les lanceurs d’alerte patriotes.

➡️ En janvier 2023, Isabelle Surply avait déjà révélé les pratiques militantes radicales de cette association woke, ce qui avait conduit à la suppression des 20 000 € de subventions régionales accordées à l’association.

Visée par une plainte pour diffamation, Isabelle Surply avait alors reçu le soutien de l’ASLA et de nos avocats pour la défendre.

➡️ La décision du tribunal confirme que dénoncer des dérives idéologiques est un acte légitime dans le cadre d’un débat d’intérêt public.
Ce succès renforce le rôle essentiel des lanceurs d’alerte dans la défense de nos valeurs.

L’ASLA félicite Isabelle Surply pour son courage et réaffirme son engagement à soutenir tous ceux qui se battent pour protéger nos droits face aux dérives de l’extrême gauche.

Ensemble, continuons à défendre la liberté d’expression !
🔴 Toulouse : le maire Jean-Luc Moudenc annule une conférence du collectif Némésis à 2h de son début sous la pression de l’extrême-gauche, suite à des dégradations de la salle.

L’ASLA dénonce cette atteinte à la liberté d’expression.
Plier face aux menaces de l’extrême gauche est inacceptable.
Victoire : L’ASLA fait condamner l’ancien conseiller municipal PCF Madjid Messaoudene pour diffamation !

Ce 22 janvier 2025, après plusieurs années de procédure judiciaire, l’ASLA a obtenu la condamnation ferme de Madjid Messaoudene, ancien conseiller municipal PCF de Saint-Denis, pour diffamation publique envers Génération Identitaire.

Cette affaire remonte à 2018, lors de l'opération Defend Europe dans les Alpes, où Madjid Messaoudene avait publiquement qualifié le mouvement activiste de « nazis » sur Twitter.
Bien que condamné une première fois en 2023, il avait refusé de supprimer ses tweets injurieux, conduisant à une nouvelle procédure judiciaire.

➡️ La cour d’appel de Paris l’a condamné à :
4 000 € de dommages et intérêts,
1 200 € de frais de justice.
Obligation de retirer ses tweets sous peine d'une astreinte quotidienne

➡️ L’ASLA a refusé de laisser cette diffamation sans réponse et s’est battue jusqu’à obtenir une condamnation ferme, prouvant que la gauche ne peut plus tout se permettre dans sa stratégie de diabolisation.

L’ASLA se félicite de cette victoire et reste attentive à ce que ce jugement soit pleinement appliqué, poursuivant son engagement pour protéger les lanceurs d'alerte injustement attaqués.
🔴 Trois mois de prison pour des affiches : l'ASLA aux côtés de Patria Albiges pour obtenir la relaxe

Le 23 janvier, la Cour d'appel de Toulouse a rendu un verdict lourd de conséquences pour trois militants de Patria Albiges, poursuivis pour avoir collé des affiches dénonçant les attaques au couteau d’Annecy, perpétrées par un migrant syrien.
Ces affiches portaient un message simple et percutant : « Protégeons nos familles de l'immigration ».
Pour rappel, l’assaillant syrien avait délibérément poignardé des bébés dans un parc pour enfants, faisant six blessés avant d’être maîtrisé.

Le verdict : une condamnation politique déguisée
La Cour a maintenu la condamnation pour « provocation à la haine raciale » avec des sanctions choquantes à l’encontre de citoyens français au casier vierge :
- 3 mois de prison avec sursis,
- Stage de rééducation républicaine à leurs frais,
- 2 500 € de dommages et intérêts à des associations militantes d’extrême-gauche, qui se sont constituées partie civile.


➡️ Un acharnement idéologique et judiciaire
Depuis le début, l’ASLA dénonce l’instrumentalisation des tribunaux pour museler les lanceurs d’alerte et dissuader toute opposition à une politique migratoire incontrôlée et ses conséquences dramatiques.
Ces trois jeunes hommes sont devenus les boucs émissaires d’une justice de plus en plus politisée, utilisée comme outil de répression.

⚖️ Pourquoi un recours en cassation ?
Cette condamnation disproportionnée et idéologiquement biaisée établit un dangereux précédent pour la liberté d’expression.
Ces jeunes patriotes, qui n’ont commis ni violence ni dégradations, se retrouvent criminalisés pour avoir dénoncé des faits graves et alerté sur un enjeu de société majeur.

L’ASLA s’engage à porter ce dossier devant la Cour de cassation. Nous irons jusqu’au bout pour obtenir la relaxe et rétablir la justice.
Face à l’intimidation, nous refusons de reculer. Ce combat ne concerne pas seulement ces militants, mais l’ensemble des citoyens qui croient encore à la liberté d’expression et au droit de dire la vérité.

👉 Merci pour votre soutien !
C’est grâce à votre mobilisation que nous avons pu accompagner ces jeunes en première instance et en appel. Aujourd’hui, ce combat continue, et nous avons besoin de vous pour nous tenir à leurs côtés.

➡️ Ensemble, défendons la liberté d’expression et soutenons ceux qui osent dire la vérité.

Faites un don pour soutenir ces jeunes militants
🔴 Deux poids, deux mesures : nouvelle dissolution annulée pour l’extrême gauche !

Le Conseil d’État vient d’annuler la dissolution de Défense Collective, un groupuscule d’extrême gauche implanté à Rennes.

➡️ Sous couvert d’aide juridique, Défense Collective forme ses militants aux affrontements avec la police, organise des Black Blocs et couvre juridiquement les casseurs interpellés après des manifestations violentes.

➡️ Contrairement à Génération Identitaire, qui organisait des actions médiatiques pacifiques pour alerter sur l’immigration extra-européenne, Défense Collective est directement impliqué dans des violences urbaines et contre les forces de l’ordre.
Pourtant, l’un est dissous, l’autre est réhabilité.
📢 L’ASLA saisit l’ARCOM pour lui rappeler ses obligations sur le pluralisme des médias

📩 Accompagné par notre avocat Maître Prigent, nous avons envoyé un courrier officiel à l'ARCOM pour exiger qu'elle applique les mêmes règles de pluralisme aux chaînes du service public qu'aux chaînes privées, notamment celles du groupe Bolloré, qu'elle persécute systématiquement.

Nous ne nous faisons aucune illusion sur son impartialité.
Depuis des années, l'ARCOM cible CNews, C8 et d'autres médias privés qu'elle considère « de droite », tout en laissant France Télévisions ou Radio France imposer une ligne idéologique progressiste sans diversité réelle d'opinion.
Tout cela financé par le contribuable français.

🚨 Notre action force l'ARCOM à se positionner :

👉 Soit elle agit et reconnaît qu'un problème existe.
👉 Soit elle se tait et prouve qu'elle est un organe de censure politique.

Dans les deux cas, elle révélera son propre jeu et renforcera la nécessité de la réformer ou de la dissoudre.

Si l'ARCOM reste silencieuse, nous porterons l'affaire devant le Conseil d'État pour mettre un terme à cette hypocrisie institutionnelle et aller jusqu'au bout du combat pour la liberté d'expression !

Nous ne demandons pas à un arbitre biaisé de devenir occasionnellement juste.
Nous le mettons face à ses contradictions pour qu'il tombe de lui-même !
🚨 Martin Ajdari nommé président de l’ARCOM : une nomination purement idéologique !

Ce 2 février, Martin Ajdari a officiellement pris ses fonctions à la tête de l’ARCOM, après avoir été nommé par Emmanuel Macron.

📌 Un profil 100% issu du système médiatique public, déjà gangréné par l’idéologie woke et le conformisme progressiste.
Ancien haut fonctionnaire du ministère de la Culture, ex-dirigeant de Radio France et de France Télévisions, il est notamment à l’origine de la mission diversité de l’Opéra de Paris, confiée à Pap Ndiaye en 2020.

➡️ Cette mission visait à « Réfléchir à l’uniformité du ballet blanc » pour supprimer toute discrimination raciale.
Dès 2020, il affirmait au Monde vouloir remettre en question les codes esthétiques du ballet classique au nom de la diversité.

L’ASLA défend la liberté d’expression face à l’ARCOM.
Nous avons envoyé un courrier officiel à l’ARCOM pour exiger qu’elle applique les mêmes règles de pluralisme aux chaînes publiques qu’aux chaînes privées.

👉 Notre pétition pour la dissolution de l’ARCOM rassemble par ailleurs déjà 14 000 signatures !

📢 Il est temps de mettre fin à cette structure politisée !
Patria Albiges revient sur le procès en appel de 3 de ses militants dans un article web 📝

Depuis le début du procès, la gauche et les associations militantes cherchent à faire taire ces activistes qui ont dénoncé l’invasion migratoire.
L’ASLA les accompagne face à ce harcèlement judiciaire.

➡️ Le combat continue en cassation, on ne lâche rien !
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👉 « C’est un combat politique et pas seulement judiciaire que nous menons au tribunal.
Nous devons nous servir des tribunaux !
 »

Damien Rieu, lanceur d’alerte sur l’invasion migratoire et l’islamisme, lors de notre premier colloque.
⚖️ Jean-Yves Le Gallou face à la justice pour avoir critiqué la politique migratoire : l’ASLA à ses côtés

📅 Le 18 février, Jean-Yves Le Gallou, figure intellectuelle de la droite patriote, ancien député européen et fervent défenseur de la liberté d’expression, sera jugé devant la 17e chambre correctionnelle de Paris.

Il est poursuivi pour avoir critiqué une décision de justice du juge Florence Nikolic, qui avait suspendu l’expulsion de l’imam islamiste Hassan Iquioussen en 2022.

Ce procès soulève une question essentielle : les citoyens ont-ils encore le droit de critiquer librement les décisions judiciaires qui façonnent la politique migratoire du pays ?

En la commentant, Jean-Yves Le Gallou n’a fait qu’exercer son droit à l’information et au débat public, un principe fondamental dans toute démocratie.

🗣️ Un enjeu pour la liberté d’expression

- Des milliers d’OQTF (Obligations de Quitter le Territoire Français) restent non exécutées, souvent bloquées par des recours judiciaires.

- Jean-Yves Le Gallou a exprimé une critique légitime concernant l’impact de ces décisions sur la politique migratoire. Ce procès met en lumière la nécessité de préserver la liberté de débattre de ces sujets.

🤝 L’ASLA soutient Jean-Yves Le Gallou dans son combat juridique

📢 L’ASLA prend en charge ses frais juridiques pour garantir que son droit à un procès équitable et à une défense pleine et entière soit respecté.

L’ASLA se tient à ses côtés pour défendre la liberté d’expression.

⚠️ Face à cette nouvelle attaque judiciaire, aidez-nous à l’aider dès maintenant en faisant un don.
🔴 Nouvelle mise en examen pour Pascal Lepetit : l’IESH poursuit son acharnement judiciaire !

📢 Pascal Lepetit, ancien candidat aux législatives, est une nouvelle fois mis en examen après une plainte de l’IESH, une école islamiste proche des Frères Musulmans.
Il est mis en examen pour diffamation après dénoncé leur influence et utilisé l’expression « jihad judiciaire » pour décrire leurs pratiques.

⚠️ Un acharnement judiciaire inquiétant quand on sait que Bruno Retailleau, aujourd’hui ministre de l’Intérieur, signait lui-même il y a 5 ans une tribune demandant la dissolution de Musulmans de France et la fermeture de l’IESH !

👉 Soutenez-le en faisant un don
Damien Rieu face à une avalanche de procès : près de 80 000 € de frais de justice

🛡 Damien Rieu, ancien porte-parole de Génération Identitaire, a toujours été en première ligne pour défendre notre civilisation.
De l’occupation pacifique du toit de la mosquée de Poitiers pour dénoncer l’islamisation de la France, aux actions dans les Alpes contre l’immigration clandestine, son parcours militant est marqué par un courage sans faille.

📢 Un combat de lanceur d'alerte

Damien Rieu a dénoncé sans relâche les élus de droite qui flirtent avec le communautarisme, mais aussi des imams radicaux, des militants islamistes et des personnalités influentes comme Xavier Bertrand ou Karim Benzema.

❗️ Ses révélations, relayées auprès de ses presque 300 000 abonnés sur X, dérangent profondément car elle font éclater la vérité et sont souvent reprises ensuite dans les médias.

En exposant les contradictions et compromissions, il est devenu la cible de ceux qui veulent bâillonner la vérité. 🤐

⚖️ Aujourd’hui, il fait face à une avalanche de procès qui visent à l’étouffer financièrement, avec 80 000 euros de frais de justice à assumer.

Son engagement dépasse sa propre personne : il incarne une résistance face aux attaques contre la liberté d'expression et l’identité française. 🇫🇷
Chaque procès qu’il affronte est une tentative supplémentaire de faire taire une voix essentielle dans le paysage médiatique et politique.

🤝 L’ASLA aux côtés de Damien Rieu : votre soutien est vital

L'ASLA se mobilise pour prendre en charge ses frais juridiques, convaincue que défendre Damien Rieu, c'est défendre la liberté d'expression face à l'intimidation judiciaire.

Mais pour continuer cette bataille, nous avons besoin de vous !
Vos dons sont aujourd'hui essentiels pour lui permettre de poursuivre son combat.

Faites un don dès maintenant pour soutenir Damien Rieu ! ✊🏼
⚖️ Jour J : Jean-Yves Le Gallou comparaît aujourd’hui devant la 17e chambre du tribunal judiciaire de Paris.

L'ASLA le soutient pleinement dans ce procès face au juge Florence Nikolic pour défendre la liberté d'expression et la critique légitime de la politique migratoire.
🔴 INFO Justice ⚖️

Robert Ménard sera jugé en correctionnelle pour avoir refusé de marier un Algérien sous OQTF.

➡️ Convoqué ce 18 février, le maire de Béziers a rejeté la procédure de plaider-coupable proposée par le parquet de Montpellier.
Il risque une peine pouvant aller jusqu’à 5 ans de prison et 75 000€ d’amende.
🔴 EN DIRECT : Jean-Yves Le Gallou au tribunal pour avoir critiqué une décision de justice sur l’immigration ⤵️

La partie civile réclame 15 000€ de dommages et intérêts pour le préjudice prétendument subi.

Les tweets incriminés ⬇️

📌 5 août 2022
« Par l’ordonnance 22-16-413, la juge FLORENCE NIKOLIC a ouvert un droit à l’immigration aux étrangers indésirables en France en faveur de l’imam Hassan Iquioussen.
Conseiller de tribunal administratif depuis 2002, elle fut détachée comme sous-préfet à la ville dans le Pas-de-Calais. 
»

📌 Autre tweet poursuivi
« Il est permis de s’interroger sur la motivation réelle du juge qui a autorisé Hassan Iquioussen à rester en France : surinterprétation des textes ? Militantisme idéologique ? Trouille des islamistes ? Un petit juge a-t-il le droit d’abolir les frontières de la France ? »

🙏 Faites un don via ce lien pour aider Jean-Yves Le Gallou à payer ses frais d'avocats dans cette procédure.
2025/02/19 03:38:53
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