⚖️ Jean-Yves Le Gallou face à la justice pour avoir critiqué la politique migratoire : l’ASLA à ses côtés
📅 Le 18 février, Jean-Yves Le Gallou, figure intellectuelle de la droite patriote, ancien député européen et fervent défenseur de la liberté d’expression, sera jugé devant la 17e chambre correctionnelle de Paris.
Il est poursuivi pour avoir critiqué une décision de justice du juge Florence Nikolic, qui avait suspendu l’expulsion de l’imam islamiste Hassan Iquioussen en 2022.
❗ Ce procès soulève une question essentielle : les citoyens ont-ils encore le droit de critiquer librement les décisions judiciaires qui façonnent la politique migratoire du pays ?
En la commentant, Jean-Yves Le Gallou n’a fait qu’exercer son droit à l’information et au débat public, un principe fondamental dans toute démocratie.
🗣️ Un enjeu pour la liberté d’expression
- Des milliers d’OQTF (Obligations de Quitter le Territoire Français) restent non exécutées, souvent bloquées par des recours judiciaires.
- Jean-Yves Le Gallou a exprimé une critique légitime concernant l’impact de ces décisions sur la politique migratoire. Ce procès met en lumière la nécessité de préserver la liberté de débattre de ces sujets.
🤝 L’ASLA soutient Jean-Yves Le Gallou dans son combat juridique
📢 L’ASLA prend en charge ses frais juridiques pour garantir que son droit à un procès équitable et à une défense pleine et entière soit respecté.
L’ASLA se tient à ses côtés pour défendre la liberté d’expression.
⚖️ Jean-Yves Le Gallou face à la justice pour avoir critiqué la politique migratoire : l’ASLA à ses côtés
📅 Le 18 février, Jean-Yves Le Gallou, figure intellectuelle de la droite patriote, ancien député européen et fervent défenseur de la liberté d’expression, sera jugé devant la 17e chambre correctionnelle de Paris.
Il est poursuivi pour avoir critiqué une décision de justice du juge Florence Nikolic, qui avait suspendu l’expulsion de l’imam islamiste Hassan Iquioussen en 2022.
❗ Ce procès soulève une question essentielle : les citoyens ont-ils encore le droit de critiquer librement les décisions judiciaires qui façonnent la politique migratoire du pays ?
En la commentant, Jean-Yves Le Gallou n’a fait qu’exercer son droit à l’information et au débat public, un principe fondamental dans toute démocratie.
🗣️ Un enjeu pour la liberté d’expression
- Des milliers d’OQTF (Obligations de Quitter le Territoire Français) restent non exécutées, souvent bloquées par des recours judiciaires.
- Jean-Yves Le Gallou a exprimé une critique légitime concernant l’impact de ces décisions sur la politique migratoire. Ce procès met en lumière la nécessité de préserver la liberté de débattre de ces sujets.
🤝 L’ASLA soutient Jean-Yves Le Gallou dans son combat juridique
📢 L’ASLA prend en charge ses frais juridiques pour garantir que son droit à un procès équitable et à une défense pleine et entière soit respecté.
L’ASLA se tient à ses côtés pour défendre la liberté d’expression.
At this point, however, Durov had already been working on Telegram with his brother, and further planned a mobile-first social network with an explicit focus on anti-censorship. Later in April, he told TechCrunch that he had left Russia and had “no plans to go back,” saying that the nation was currently “incompatible with internet business at the moment.” He added later that he was looking for a country that matched his libertarian ideals to base his next startup. Markets continued to grapple with the economic and corporate earnings implications relating to the Russia-Ukraine conflict. “We have a ton of uncertainty right now,” said Stephanie Link, chief investment strategist and portfolio manager at Hightower Advisors. “We’re dealing with a war, we’re dealing with inflation. We don’t know what it means to earnings.” The next bit isn’t clear, but Durov reportedly claimed that his resignation, dated March 21st, was an April Fools’ prank. TechCrunch implies that it was a matter of principle, but it’s hard to be clear on the wheres, whos and whys. Similarly, on April 17th, the Moscow Times quoted Durov as saying that he quit the company after being pressured to reveal account details about Ukrainians protesting the then-president Viktor Yanukovych. "There is a significant risk of insider threat or hacking of Telegram systems that could expose all of these chats to the Russian government," said Eva Galperin with the Electronic Frontier Foundation, which has called for Telegram to improve its privacy practices. After fleeing Russia, the brothers founded Telegram as a way to communicate outside the Kremlin's orbit. They now run it from Dubai, and Pavel Durov says it has more than 500 million monthly active users.
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